Programme des Épouses Interstellaires Coffret

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« Et si j’ai pas envie ? Et si c’est vous qui vous trompez ? » Elle lève la main pour toucher sa poitrine et son cou, elle est nerveuse, je trouve ce geste extrêmement touchant. Ce qu’on lui offre lui fait envie mais elle a peur de le prendre.



« Tu nous fais confiance, Jessica ? Tu sais qu’on ne va pas te faire mal ? Tu nous crois quand je te dis qu’on est assez forts et assez sérieux pour te protéger et t’aimer ? Tu nous crois si je te dis que notre seul désir est de te rendre heureuse, et de satisfaire tes envies ? »



Sa main s’immobilise sur son cou, elle regarde le sol pendant de longues secondes qui nous paraissent un siècle, à Ander et moi. Il retient son souffle. On retient tous les deux notre souffle, on attend sa réponse, on attend sa permission pour la sauter. Cette femme fragile tient nos cœurs et notre bonheur entre ses mains.



Je m’avance vers elle, je l’attire dans mes bras enfin que son oreille repose sur ma poitrine, au niveau de mon cœur. Je l’enlace étroitement, je caresse la courbe de son dos et de sa hanche d’une main tandis qu’Ander la regarde avec un désir croissant, je sais que j’ai exactement le même regard. Je mets mon autre main dans ses cheveux, je l’attire doucement contre moi, comme un cristal précieux.



« Tu entends le battement de mon cœur ? Il bat pour toi. Toutes les cellules de mon corps sont pour toi, pour que tu te sentes bien, pour ta sécurité, pour ton plaisir. Les colliers que nous portons autour du cou indiquent que tu nous appartiens, partenaire, mais en fait, c’est nous qui t’appartenons. Nous sommes exclusivement à ton service. Nous combattrons pour toi, nous tuerons pour toi, nous mourrons pour toi. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que tu te sentes en sécurité, protégée et aimée. Si tu nous y autorises, Jessica. » Je prends son visage dans ma main et tourne sa tête afin de regarder ses yeux bleu clair. « Dis oui. Accepte notre lien. Laisse-nous t’aimer.” »



Un mot. C’est tout ce qu’on lui demande pour qu’elle nous appartienne pour toujours. Un mot pour nous libérer, la toucher, la baiser, la marquer à jamais.



« Oui. »



Je l’embrasse doucement, tendrement pour la récompenser de son cadeau. Je ne proteste pas lorsqu’Ander tend la main et l’attire vers lui. Je sais qu’il meurt d’envie de la toucher lui aussi.



J’enlève ma chemise et la jette à terre tandis qu’Ander conduit Jessica vers le lit. « Mais d’abord, chère partenaire, on va te punir.



– Punir—quoi ? Pourquoi ? »



Il contourne le lit, l’accule de façon à ce qu’elle n’ait pas d’autre choix que de grimper sur le matelas. Ce n’est que lorsque ses genoux sont sur le lit que je lâche sa main et glisse mon bras autour de sa taille. « Ton entêtement à désobéir à Nial tout à l’heure nous a conduit à blesser deux de nos frères et à saccager la salle d’examen du docteur.



– J’ai dit que j’étais désolée. Je ne savais pas. » Elle est à quatre pattes, il caresse ses fesses nues tout en murmurant à son oreille.



« Ce n’est pas suffisant. Tu t’es mise en danger pour rien, partenaire, bien que Nial t’ait avertie. Tu as réfléchi à ce qui aurait pu arriver si Nial ou moi n’avions pas remporté le défi ? » Sa main s’abat durement sur ses fesses nues.





Pan !





L’empreinte rouge d’une main se matérialise et elle lutte pour retenir son souffle, elle va devoir y passer. Elle rougit tandis qu’Ander lui frappe à nouveau les fesses. « Qu’est-ce qui vous prend putain ? »



Ander secoue la tête. « Surveille ton langage, partenaire. »



Il la fesse de nouveau. Encore.



Elle halète, ses tétons durcissent et elle ferme les yeux tandis que je sens l’excitation envahir son vagin. « C’est stupide. Je suis pas une gamine.



– Non, effectivement. Tu es à moi. Tu es à Nial. On va te donner du plaisir. On va s’occuper de toi. En cas de danger, on te protègera. »

Pan. Pan.

« Si tu te ligues contre nous et te mets en danger, on te punira. On te donnera la fessée jusqu’à ce que tes fesses soient rouge vif et que ton corps te brûle. »



Une sensualité aveuglante s’empare de mon collier tandis qu’Ander lui parle. Je baisse mon pantalon et masturbe ma bite en érection tandis que je l’observe la dominer. Elle mord ses lèvres et gémit, ses seins balancent à chaque coup qu’Ander administre sur ses fesses rondes.



Sa peau parfaite change rapidement de couleur tandis que sa main s’abat à différents endroits. Je ne peux m’empêcher d’être fasciné par ses fesses qui s’agitent sensuellement.



« Ander ! »



Mon second poursuit la fessée jusqu’à ce qu’elle baisse la tête, sa chatte est si humide que je vois son excitation luisante de là où je suis. Ander enfonce alors deux doigts dans son vagin par derrière.



« T’aime quand ça fait mal hein, Jessica ? Tu veux que je continue ? » Il retire ses doigts luisants et mouillés de son vagin et les enfonce plus profondément encore, en caressant son clitoris du doigt. « Tu veux que je tape plus fort ? »



Elle secoue la tête, on sait où elle veut en venir. Ander grogne et la doigte, il s’enfonce profondément tandis que le désir de Jessica envahit nos colliers. Je me mets à côté d’elle et caresse sa taille fine et marquée, tout en contemplant le plug enfoncé dans son cul. Je m’approche de son oreille. « Tu veux qu’on te baise avec le plug en place ? Tu veux qu’on te dilate jusqu’à ce que ce soit tellement bon que tu hurles ?



– Oh, mon Dieu. Je peux pas. Je peux pas. » Elle gémit, secoue la tête tandis que je la fesse à mon tour, j’adore ressentir sa douleur via le collier et la chaleur qui s’ensuit. Elle adore la fessée. Elle adore ce qu’Ander est en train de lui faire, il se sert de ses trois doigts pour dilater son vagin, tout en tirant et jouant avec le plug dans son cul.



Il ne l’enlève pas mais l’enfonce et le retire de manière à dilater son vagin et son cul, lui mettre le feu tandis qu’il doigte son vagin brûlant. La sueur perle sur sa peau, elle agrippe les draps de toutes ses forces.



« Tu as oublié. Les colliers nous relient. Tu ne peux pas nous mentir. Je sens que tu luttes intérieurement, tu luttes contre cette douleur et tu essaies de comprendre comment la douleur peut provoquer du plaisir. »



Je la fesse à nouveau, le bruit emplit la salle.



Cette fois-ci, Jessica gémit. « Oh, mon Dieu.



– Je ne suis pas un dieu, mais tu peux m’appeler maître. » Je m’approche, prends un sein dans ma main, pince le téton et tire dessus tout en la fessant.



« Ta chatte ne ment jamais. Les colliers ne mentent jamais. Rends-toi, Jessica, ne te pose pas de questions, accepte simplement et on te procurera du plaisir comme jamais. Je parie que tu n’imaginais pas que ce serait aussi bon d’avoir un truc dans le cul. Il n’y a pas de honte à succomber au désir procuré par tes partenaires. »



Ander baisse la tête et mordille ses fesses rouges, juste assez pour qu’elle s’agite, tandis que je titille son sein. On ne la lâchera pas tant qu’elle n’aura pas avoué. On le sent via notre collier, elle le sent dans chaque cellule de son corps, mais elle doit l’accepter. Elle finit par baisser les épaules, ses doigts relâchent le drap, elle baisse la tête. Elle abandonne, elle nous laisse maîtriser son corps, ses envies. La vérité.



« Oui, maître, elle halète.



– Tu veux qu’on te baise ? » demande Ander.



Elle se tortille tandis qu’il retire ses doigts et les lui tend. « Ouvre la bouche, goûte la perfection. »



Elle obéit, il glisse le bout de ses deux doigts dans sa bouche. Le goût emplit son corps de désir, je glisse mon propre doigt dans son vagin et le retire pour la goûter à mon tour. Elle est douce et chaude, mon sexe palpite d’envie de la pénétrer profondément.



Je recule, ôte mes vêtements restants tout en fixant son sexe à l’air, béant, gonflé et luisant. J’avoue que la vue du plug dans son cul est particulièrement tentante. Sans compter ses fesses rouges et chaudes, je suis comblé. J’ai hâte de décharger en elle, d’enduire son sexe de mon fluide, de nous accoupler. Son goût m’attire. Je lui appartiens corps et âme. Aucune autre femme ne pourra me combler. Je lui appartiens, il est temps que notre lien s’accentue.



« Je vais te baiser maintenant. Je vais enfoncer ma grosse bite dans ta petite chatte. »



Jessica rejette la tête en arrière tandis qu’Ander la force à rester immobile en passant sa main autour de son cou. Son dos se cambre magnifiquement, son cul pointe et ses cuisses sont grandes ouvertes tandis qu’elle ondule des hanches en signe de bienvenue.



« Ander va se branler dans ta bouche. Tu nous as créé des ennuis, partenaire, il va faire en sorte de s’occuper de toi. »



Ander se déshabille à son tour, nous sommes prêts. Elle relève la tête et écarquille les yeux en voyant sa queue pour la première fois. Elle est longue et épaisse, son gland est vraisemblablement trop gros pour elle. Elle veut pourtant le prendre dans sa bouche ; elle veut le prendre entièrement. Je le sens, je sens qu’elle a envie de l’engloutir et de lui faire une gorge profonde. Une goutte de liquide séminal perle du gland.



« Lèche-la. » Ander s’approche, pose un genou sur le lit afin que son sexe touche sa bouche. Elle n’a pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche et d’enrouler sa langue autour.



Je manque jouir en voyant sa petite langue rose lécher le sperme. Elle gémit et ferme les yeux d’extase tandis que le fluide d’accouplement contenu dans son sperme envahit ses sens. Je la regarde, stupéfait, tandis que son sexe se contracte sur du vide, il m’attend.



Je ne peux plus attendre. Je m’approche d’elle, empoigne la base de mon sexe et le place devant son orifice palpitant. Je pose une main sur sa hanche et me regarde en train de la pénétrer, mon sexe disparaît peu à peu en elle. J’écarte ses fesses, je l’écartèle, les lèvres de sa chatte s’écartent sur mon membre épais, la chair douce et rose se dilate et s’entrouvre et je m’enfonce profondément.

 



Je pose ma main grande ouverte sur ses fesses parfaites, place mon doigt à la base du plug dans son cul, je le fais bouger à l’intérieur et à l’extérieur, lui procurant d’autres sensations. Je sais grâce au collier qu’elle se prépare à être possédée, elle adore ça. Elle n’a pas mal, c’est du plaisir à l’état pur.



Je m’enfonce et la pénètre jusqu’à la garde, je ne peux pas aller plus loin et je reste là, elle lèche avidement le gland d’Ander, chaque goutte de liquide séminal se rajoute à son excitation, son vagin se contracte sur ma bite tel un poing.



De ma main libre, je saisis ses longs cheveux, j’enroule ses mèches soyeuses autour de mes doigts. Je tire doucement en arrière, elle se retrouve dans la position idéale pour accueillir Ander. À fond.



« Ouvre-toi, partenaire, et prends-nous tous les deux, » Ander se penche de façon à ce que son gland entre dans sa bouche, il la force à entrouvrir les lèvres.



Elle ouvre spontanément la bouche et engloutit le gland d’Ander. Il est clair qu’elle a envie de sentir le fluide séminal sur sa langue.



« Tu veux qu’on te baise maintenant ? » Ander soulève le menton de Jessica, elle le regarde. Elle murmure son consentement, elle ne peut pas parler avec la bouche pleine.



« Tu vas nous prendre tous les deux, partenaire. Maintenant. »





12










Nial





Jessica ferme ses paupières en entendant l’ordre d’Ander et elle se presse contre lui, elle essaie de me forcer à bouger, pour que je la baise plus ardemment.



Ander se refuse à elle, il la maintient et lui parle. « Je vais baiser ta bouche pendant que Nial baisera cette chatte humide et torride. »



Je me retire de son vagin pile au bon moment, m’y enfonce à nouveau, la pénètre profondément, jusqu’à toucher son col de l’utérus. J’ai envie de jouir en elle, de l’inonder de sperme, que mon enfant croisse dans son ventre. Mais on n’a pas terminé avec elle, pas encore. Je laisse Ander lui parler, la guider vers ce à quoi on tend. Il connaît ses besoins, il sait comment la faire obéir au son de sa voix, à ses ordres, pour son plus grand plaisir.



Il la pilonne en même temps que moi, nous la baisons à l’unisson, on s’enfonce et on se retire en rythme.



« On ne n’enfonce pas assez, Jessica. Ouvre-toi. Prends-nous. Avale-moi. Encore. »



Elle se penche en avant, l’avale plus goulument tandis que nous nous enfonçons profondément, elle se retrouve piégée entre nos deux bites en érection.



« C’est bien. Et maintenant, Nial va te sauter avec sa grosse bite. Tu as envie de sentir sa queue hein ? »



Je l’attrape par les hanches, mes doigts s’enfoncent dans sa peau douce tandis que je la baise de plus en plus violemment et rapidement, il continue de lui parler. Des mots crus. Des paroles inavouables. Elle aime ça. Le bruit produit par sa chatte humide emplit la pièce. À chaque fois que je me retire de son cul, je force son corps à avancer, de façon à ce que le sexe d’Ander s’enfonce plus profondément dans sa bouche. Elle ne peut pas nous échapper, elle ne peut se dépêtrer de nos deux énormes membres tandis qu’on la baise, qu’on la pénètre. Elle gémit à chaque pénétration, Ander gémit à son tour, les veines de son cou saillent comme s’il luttait pour garder son calme.



Je comprends parfaitement son problème. Un plaisir délirant va crescendo, nos colliers ne font qu’accentuer les sensations, le plaisir nous enveloppe, de plus en plus présent.



« Il est à fond hein, partenaire ? Tu veux que ton prince bouge le plug dans ton cul ? T’as envie qu’il te baise avec ? Tu veux qu’on baise tes trois orifices ? »



Il se retire complètement et elle se lèche les lèvres, le regarde d’un air absent. « Oui.



– Oui, maître.



– Oui, maître. Je t’en supplie. Je t’en supplie. Oui. Je t’en supplie. » Sa voix est rauque de désir et de désespoir. Elle ne réfléchit plus, à cet instant précis, elle nous appartient totalement et complètement. Son corps est son univers, nos bites et notre domination l’ancrent dans la réalité. J’adore la voir ainsi, détendue, passionnée et totalement libérée.



Ander frotte sa lèvre inférieure en se masturbant devant elle, il se branle vigoureusement, une grosse goutte de liquide séminal s’échappe de son gland. Elle regarde, hypnotisée tandis qu’il se penche et frotte le fluide d’accouplement sur ses lèvres. Je réprime un grognement tandis que son sexe enserre ma queue comme un étau. Je prends le bout du plug anal et le retire juste assez pour apercevoir son joli petit orifice tout rond se dilater et commencer à s’ouvrir, pas suffisamment toutefois pour que le plug sorte entièrement.



Je l’introduis à nouveau dans son corps et Ander lui lance son prochain ordre. « Prends ma bite, partenaire. Prends-la toute.



Jessica le prend en bouche, ses joues l’avalent et elle écarte ses mâchoires pour s’adapter à sa taille. Il met son poing dans ses cheveux et je relâche ma poigne sur sa chevelure dorée afin qu’il la force à obéir. « Remplis ta bouche et laisse-moi te baiser. Oui, c’est bon. Encore. Oh oui tu t’en sors bien. Plus profond.

Oui

. »



Jessica enfouit son nez dans la toison claire et bouclée de son sexe, je me retire et la baise ardemment. Elle se plaque contre la bite d’Ander, le prend entièrement en bouche.



Ander se retire afin qu’elle puisse reprendre son souffle et je fais de même. Elle s’agite, elle se sent vide—le collier nous indique qu’elle ne peut le supporter, nous sommes entièrement à l’écoute de ses besoins—et je la pénètre à nouveau. Je la pilonne violemment, je la pénètre et la pousse contre la bite d’Ander. Je la prends comme elle prend Ander. Elle est entre nous deux, elle se donne à fond.



« Tu aimes ça. Tu aimes qu’on te dise ce que tu dois faire. Tu aimes être entre deux hommes. Te donner à fond. Ah tu vois, Nial va s’amuser avec ton joli petit cul. Il va te sodomiser avec le plug. » Ander serre les dents tandis que le plaisir de Jessica surgit telle une force obscure dans nos corps.



« Ne t’occupe de rien, partenaire. Ne t’occupe de rien quand on te saute. Pourquoi ? Parce que c’est ce que tu veux. On sait ce que tu veux, ce dont tu as besoin. On connait le moindre de tes désirs. »



Ander parle tandis que nous la baisons. Elle ne le quitte pas des yeux, il enlève les cheveux de son visage tandis qu’elle continue sa fellation.



« Comment on sait que t’aimes faire ça à la sauvage ? Parce qu’on est accouplés. Tu es la partenaire idéale.

Nous sommes

 des partenaires idéaux. Tu jouiras quand on te le dira, » dit Ander. Elle s’agite.



Elle ne va pas tarder, elle va bientôt jouir. Je ne vais pas tenir bien longtemps, elle est chaude et toute glissante. Je suis content qu’Ander impose le rythme. Notre partenaire aime ses mots crus et ses ordres, je profite simplement de son corps. Pendant des années, en tant que prince, j’ai assumé mes responsabilités et pris des décisions qui ont pesé sur des millions de vies. Pour une fois, je suis un homme comme un autre, libre de me consacrer entièrement à ma partenaire, de sentir son sexe humide sur ma queue, de ressentir le plaisir qui la parcourt tandis que je la sodomise avec le plug anal et qu’Ander lui prend sa bouche. Je suis libre, tout ce qui compte est de baiser la seule femme qui compte à mes yeux dans tout l’univers. Son corps est désormais mon refuge. Son plaisir intense

m’appartient.



Ce simple mot emplit mon esprit tel un chant incantatoire et j’effectue des mouvements de va-et-vient dans son vagin.

Mienne. Mienne. Mienne.



Je lui donne la fessée et elle frémit sur la bite d’Ander. Je sais qu’à tout moment, sa jouissance provoquera un ouragan de plaisir douloureux auquel je ne pourrais pas résister.



Je vais jouir.



Et après, je la baiserai encore.










Jessica







Oh, mon Dieu.





J’ignore à quel moment ça s’est produit mais je me retrouve entre deux hommes. Pour la deuxième fois, complètement écervelée, seulement en leur présence. J’ignore à quel moment j’ai perdu la maîtrise de mon corps, ma capacité de réflexion. Et je m’en fiche.



Je n’ai plus envie de penser. J’ai envie d’appartenir à quelqu’un, corps et âme. J’en ai marre de me sentir seule et isolée. J’en ai marre de faire face, toute seule. Je n’ai plus aucune barrière, je n’ai plus envie de lutter.



Aucune.

 Je flotte, envahie par une intense satisfaction tandis que j’engloutis les sexes de mes partenaires plus profondément dans ma gorge et ma chatte. Leur attention est savamment ciblée, leurs mots crus et leurs sexes en érection me conduisent au paroxysme, je me révèle pleinement. Ils me veulent sauvage et consentante, que j’accueille leurs mains et leurs bouches, leurs bites et leur vénération. J’en ai envie, ils me comblent, mes jambes tremblent et mon cœur menace de bondir hors de ma poitrine. J’ai encore mal au cul de la fessée, ils m’ont allumée, la brûlure torride se répand tel un incendie dans mes veines. Je suis sur le fil du rasoir, ils font exprès, je suis à deux doigts d’un orgasme explosif, ils ne me laissent pas jouir, ils veulent décupler mon désir.



Je regarde mon second, Ander, tout en faisant une gorge profonde à son énorme bite. Le goût de son sperme est une drogue dont je ne peux me passer. Au début je n’arrivais pas à respirer et j’ai un peu paniqué mais il a gardé sa main sur mon menton et ses yeux rivés sur les miens. Je sais qu’il n’allait pas me faire de mal, qu’il me pousserait à dépasser mes limites, sans me mettre en danger. Ma vie est entre ses mains à cet instant précis, je lui fais confiance pour qu’il me laisse respirer, je lui fais confiance pour qu’il veille sur moi tandis que je lui donne du plaisir.



Une fois rassurée, je me suis donnée à fond pour le combler en lui faisant une fellation. Il a un goût, viril et sauvage, sentir sa grosse bite épaisse et torride m’excite au plus haut point.



Ander tire mes cheveux, je le regarde, j’ai hâte de le satisfaire, de faire ce qu’il veut de moi. Il recule et saisit son sexe à pleine main. « Suce mon gland, partenaire. Suce-le comme si c’était la meilleure chose que t’ai jamais goûtée. Suce-le comme si t’allais mourir si tu ne le suçais pas. »



Je souris et ouvre la bouche, je prends son gland et l’explore du bout de la langue tandis qu’il continue, « Si t’arrive pas à me faire jouir dans la minute qui suit, Nial arrêtera de te baiser. Il va se retirer de ta chatte et tu seras vide. »



Ander gère la situation, Nial enfonce sa bite en moi et je me sens en sécurité, dans son silence rassurant. C’est un roc, mon refuge, Ander est mon ouragan. Dans cette pièce, avec le peuple Prillon, Nial a le pouvoir ultime, le pouvoir du prince. Désobéir à Ander me coûterait le plaisir de sentir la bite de Nial en moi, alors, j’obéis à Ander.



Je le suce avidement, il frémit et gémit, sa main s’agite tandis qu’il essaie de garder son sang-froid. Je ne peux pas le laisser faire. Il doit s’abandonner avec la même intensité que je me suis livrée à eux. Je veux qu’il jouisse dans ma bouche. Je veux avaler son sperme, qu’il sache exactement à qui il appartient.



Qu’est-ce que ça fait ? Une femme qui obéit de son plein gré aux ordres d’un homme ? J’ai combattu toute ma vie contre cette soumission, et voilà où j’en suis, en train de me faire sauter par deux hommes comme une star du porno. Je devrais me sentir diminuée par les paroles crues d’Ander. Mais ce n’est pas le cas. Je me sens toute puissante parmi eux, telle une reine face à ses deux courtisans, si captivés, si hypnotisés par mon corps, ma bouche et ma chatte, par ma reddition, qu’ils en perdent leur sang-froid.



C’est torride. J’aime les mots crus, leur façon taboue de me baiser. Je ne fais qu’un avec eux, quasiment empalée par deux bites. Même si je le voulais, je ne pourrais aller nulle part, et de toute façon, je n’en ai pas envie. Je veux qu’ils m’appartiennent tous les deux. Je veux qu’ils me voient désormais en se souvenant de moi à cet instant précis, qu’ils me désirent.

 



Nial empoigne la base du plug et lui fait faire des mouvements de va-et-vient, comme si c’était un sexe. Je suis comblée. Tous mes orifices sont remplis, baisés et dilatés.



Je ne ferme pas les yeux, je regarde Ander. Je le regarde pendant que je le suce, je lui obéis. Il doit savoir que je lui appartiens, que j’ai envie de le sentir en moi plus encore que de respirer.



Le

besoin

de lui obéir est plus impérieux que celui de jouir.



« Je peux plus tenir, » rugit Nial tandis que ses hanches heurtent mes fesses, enfonçant le plug bien profond.



« Jessica, » grogne Ander et j’agite ma langue contre son gland tandis que j’enserre la bite de Nial de toutes mes forces dans mon vagin. Nial pousse un grognement et je continue tandis qu’Ander nous donne ce qu’on attendait.



« Encore trois coups de bite de Nial, partenaire, et tu pourras jouir. »



Cette permission déferle en moi telle une décharge électrique, je vais puiser au fin fond de ma réserve de volonté pour retenir mon orgasme, je ferme les yeux tandis que Nial me pilonne à fond.



Un.



La bite d’Ander se tortille dans ma bouche.



Deux.



La main de Nial se fige sur ma hanche, il agrippe ma chair encore endolorie par la fessée.



Trois.



Nial me donne de violents coups de boutoir, il me pénètre complètement. Son sperme chaud gicle en moi et je jouis.



Ander rugit tandis que son sexe s’enfonce encore plus profondément, il touche le fond de ma gorge tandis que le jet de son sperme dégouline, me réchauffe comme une rasade de whisky.



Leur sperme m’envahit, je ne sais plus où je suis tandis que des vagues de plaisir me submergent, mes tétons durcissent, les parois de mon vagin se contractent sur la bite de Nial et sur le plug anal. Je savoure le goût acidulé d’Ander sur ma langue tandis que leur fluide brûlant coule en moi, me berce et me drogue d’un plaisir torride et doux à la fois.



Ander se retire pour que je reprenne mon souffle et Nial fait de même. Il retire doucement le plug tout en doigtant mon clitoris, mon corps est tellement prêt que je jouis à nouveau tandis qu’il retire le plug, me dilate et pince mon clitoris.



Les deux hommes me laissent, je me sens soudainement vide. Je m’écroule sur le lit, le goût acidulé et unique du sperme d’Ander reste sur ma langue, celui de Nial dégouline de ma chatte sur mes cuisses.



Je n’arrive pas à reprendre mon souffle, je ne peux pas bouger, même si je le voulais.



J’ai besoin d’air, je regarde mes hommes. Leurs sexes sont toujours en érection, rouges et luisants, tout glissants de mon excitation, de ma salive, de leur sperme. Ils sont côte à côte et me dévisagent.



« C’est pas encore terminé, partenaire.” Les mots d’Ander me font de l’effet, mes tétons durcissent instantanément, mon sexe vide palpite. Ils ont l’air comblés, leur expression est moins intense, mais leurs bites sont toujours aussi raides. Ils sont prêts à recommencer ?



« Tu vas me sodomiser ?



– Tu n’es pas prête. Bientôt.



– Ma … ma chatte alors ? »



Nial prend la parole. « Ta chatte m’appartient jusqu’à ce que tu tombes enceinte. Mon sperme doit te mettre enceinte. En tant que premier partenaire, ton premier enfant m’appartient de droit. Lorsque tu seras enceinte de moi, on pourra se partager ta jolie chatte. Il te sodomisera lorsque tu auras assez d’entraînement.”



Mais alors— je fronce les sourcils. Vous voulez quoi ? » Je leur ai donné tout ce que j’avais.



« Je sens ton désir. Tu n’es pas comblée, » répond Ander.



C’est vrai. Je devrais être épuisée ou endormie, ou du moins, endolorie. Je n’éprouve rien de tout ça. En fait, j’ai envie qu’ils continuent. « Comment—



– Tu as oublié, partenaire, qu’on connaît tes besoins, » répond Nial. Il a laissé Ander commander jusqu’à maintenant, mais son air tendu me laisse subodorer que ça va changer.



« Ecarte les cuisses et fais voir ta chatte. »



Je devrais être révoltée par l’ordre de Nial mais je ne peux qu’obéir. Ils m’ont procuré du plaisir, il n’y a pas lieu de tergiverser. De plus, je les ai baisés tous les deux, pas de fausse modestie.



Je m’installe doucement sur le dos et écarte les jambes. Je plie les genoux, afin qu’il ait une vue plongeante.



« Et maintenant, montre-moi comment tu te masturbes. »



Nial s’agenouille au pied du lit et attrape ma cheville. Ander fait de même, ils sont pile au

bon endroit

 et voient

tout.

 Impossible de passer à côté de mes lèvres gonflées. Ou du sperme qui enduit mes doigts. Ou de mon énorme clitoris qui palpite. Ou de mon vagin qui se contracte, réclamant sa bite. Ou de mon anus, probablement rouge et endolori par le plug anal.



« Enduis ta magnifique chatte avec mon sperme, » ordonne Nial.



J’obéis et je sens son sperme torride et glissant, ça m’apaise, ça m’excite. C’

est

 aphrodisiaque. On dirait de la C-bomb. Je suis accro au désir de mes hommes.



« Oh, mon Dieu, je gémis, en effectuant des cercles autour de mon clitoris avec le sperme de Nial.



– Lèche tes doigts. »



Je les porte à ma bouche et les lèche tandis que Nial s’agenouille entre mes jambes et me pénètre.



Le goût du sperme de Nial s’ajoute à celui d’Ander, Nial est sur moi, son énorme sexe m’écartèle. Ander grimpe sur lit et s’agenouille au niveau de ma tête. Il se penche et écarte mes jambes pendant que Nial me baise. J’agrippe les draps avec les poings mais Ander s’en empare et les place derrière ma tête, sur sa queue.



« Suce mes couilles pendant qu’il te baise, partenaire. Pompe ma bite avec tes mains et suce mes couilles jusqu’à ce qu’il te fasse jouir. »



Oh, mon Dieu ! Il me parle si crûment, c’est vraiment un voyou. J’ondule des hanches, j’enroule mes chevilles autour des hanches de Nial, je m’agite et le supplie de continuer à me baiser, grâce au peu de souffle qui me reste. Je besogne la bite d’Ander avec les mains, je le branle, je suis si connectée grâce au collier que je sais exactement ce qu’il aime.



Je suis essoufflée, je le lèche à nouveau, je supplie Nial de me baiser plus vite, de titiller mon clitoris, de me toucher.



Le plaisir va crescendo, les sensations véhiculées par le collier se gravent dans mon esprit. La sensation éprouvée par la bite de Nial tandis qu’il me baise. La joie procurée à Ander lorsque mes mains enserrent étroitement sa bite. Leur satisfaction et leur plaisir tandis que je me cambre et gémis, que je les supplie de se dépêcher, de me faire hurler.



Nial glisse sa main entre nous pour titiller mon clitoris tandis qu’Ander tire et pince mes seins. Je le suce et sens qu’il perd son sang-froid, je sens son sperme chaud gicler tandis que le liquide brûlant atterrit sur mes seins. Il le fait pénétrer dans la peau, le fluide d’accouplement m’arrache un cri tandis que je suis ébranlée par des orgasmes à répétition.



Nial me baise jusqu’à ce que je n’en puisse plus, jusqu’à ce que je sois engourdie, il me pénètre jusqu’à la garde. Je suis perdue. Je suis ruinée. Je suis souillée, je suis une traînée, je leur appartiens corps et âme. J’adore ça. Bon dieu j’adore ça.



Ils s’allongent à côté de moi, Nial devant et Ander derrière et nous nous effondrons comme des masses sur le lit, épuisés mais comblés. Ils me regardent, ils me caressent et m’apaisent, ils me remercient et me disent que je suis spéciale, précieuse. Je leur appartiens.



Je ne me suis jamais sentie aussi comblée et heureuse de toute ma vie.



J’ignore combien de temps ils me caressent en silence et je bondis comme un lapin effrayé lorsque j’entends une alarme sonner.



J’entends un bip, puis un autre et la voix d’un homme

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